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Israël vers une option militaire contre l’Iran ?

Le chef d’état-major vient de nommer son adjoint. Son équipe va examiner les options militaires envisagées par le gouvernement quelques jours après que l’ accord nucléaire avec l’Iran soit signé. Il ne s’agit pour l’instant que d’exercices de l’IAF pour d’éventuelles frappes.
Alors que les puissances mondiales et l’Iran atteignent le délai ce mardi – qui sera prolongé – pour des entretiens sur le programme nucléaire du régime islamique, Israël prend des mesures pour se préparer à une frappe militaire contre les installations nucléaires de Téhéran afin de se défendre contre une menace imminente.
L’Iran interdit l’inspection de ses sites nucléaires
L’Iran a refusé toutes inspections de ses sites nucléaires secrets. La république Islamique a déclaré qu’elle utiliserait ses centrifugeuses dès que l’accord sera atteint, ce qui signifie que le premier état parrain du terrorisme pourrait obtenir un arsenal nucléaire dans les prochaines semaines, tout en bénéficiant de milliards de dollars grâce à l’allègement des sanctions.“Walla press” a rapporté mardi qu’elle a appris d’une source étrangère que le chef d’état-major de Tsahal Gadi Eizenkot avait bien nommé le chef adjoint d’état-major, le général Yair Golan, à la tête d’une équipe spéciale chargée d’examiner les options militaires contre l’Iran. L’équipe devra explorer ce genre d’options, en substitution de celles qui sont disponibles en Israël.

Réévaluer la situation 

En nommant un tel haut fonctionnaire de Tsahal à l’équipe, il est probable qu’Israël envisage la signature d’un accord qui changera les règles du jeu et exigera une réévaluation sérieuse de la situation régionale, celle probablement d’envisager une action militaire contre l’Iran.

Des sources proches de ministre de la Défense Moshe Yaalon (Likoud) disent qu’il y a un besoin pressant de présenter une option militaire contre l’Iran. Depuis plus de 15 ans, l’armée israélienne étudie la possibilité d’une action militaire contre le programme nucléaire de l’Iran qui n’a jamais connu une si forte expansion, et la majorité du financement pour une telle préparation va aux Forces israéliennes de l’Air (IAF) et à la branche du Renseignement de l’armée israélienne.
« Rien n’a changé en ce qui concerne l’option militaire ».

Une source proche de Yaalon déclare que “rien n’a changé en ce qui concerne l’option militaire. Notre hypothèse de travail est que l’Iran est notre ennemi le plus amer aujourd’hui, même si nous ne partageons pas de frontière physique avec lui, mais nous ne devons pas remettre tout type de préparation contre lui.”

“En fin de compte, nous ne croyons pas l’Iran. Nous ne croyons pas que le projet (nucléaire) sera arrêté. Par conséquent l’option (militaire) restera effective. Nous devons être prêts aussi pour le jour où Israël devra  prendre seul ses décisions. S’il devient clair qu’il viole l’accord ou ce qu’il en reste ? Ou si l’Iran descend profondément sous terre (avec ses installations nucléaires) ? Et si de nouveaux sites se créent? Allons-nous attendre que le États-Unis viennent prendre soin de nous ?”


Tsahal a placé en étude un système de frappe anti-missiles aussi
avancé que le S-300, qui est considéré comme un défi majeur dans la réalisation d’un raid aérien, parce ce qu’il peut abattre des roquettes ainsi que bien que des avions de combat. Mais d’après la source, Tsahal n’engagera le combat que s’il est sûr de parer aux S-300.

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