Scandale d’État : quand l’idéologie prend le pas sur la sécurité nationale
Voici le premier véritable scandale d’État au plus haut niveau du gouvernement, avec la complaisance assumée du Président de la République, garant de notre politique étrangère, et de son ministre des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot.
L’un par arrogance, l’autre par suivisme idéologique, ils se ressemblent : tous deux multiplient les décisions hasardeuses, dangereuses, et profondément irresponsables.
D’un côté, Emmanuel Macron refuse de participer à la marche contre l’antisémitisme, refuse de désigner clairement les coupables, et condamne sans relâche Israël, qui mène pourtant une guerre existentielle contre le terrorisme du Hamas.
De l’autre, son ministre annonce que la France reconnaîtra unilatéralement un État palestinien, sans condition, sans engagement de paix, et sans renoncement au terrorisme.
Le conflit importé en France
Mais les choses ne s’arrêtent pas là. Le conflit est désormais importé sur notre sol, à travers des décisions administratives stupéfiantes.
Le cas de cette étudiante originaire de Gaza, bénéficiaire d’une bourse financée par l’État français, est accablant : sur ses réseaux sociaux, elle glorifie Adolf Hitler, fait l’apologie du terrorisme et appelle à tuer des Juifs.
C’est cela, le fruit de cette diplomatie aveugle et idéologisée : donner la parole et les moyens à ceux qui haïssent nos valeurs, notre République, et profanent la mémoire de l’Histoire.
C’est bien Jean-Noël Barrot qui a permis l’arrivée sur le sol français d’une étudiante radicalisée, issue d’un environnement idéologique aligné avec celui du Hamas.
Ce n’est plus une erreur politique : c’est un scandale d’État.
Un scandale financé avec l’argent des contribuables, dans une France endettée à hauteur de 3 000 milliards d’euros, où l’on demande aux Français de se serrer la ceinture, pendant qu’on distribue des bourses à des sympathisants du terrorisme.
Dans une République digne de ce nom, un ministre responsable assume ses fautes.
Jean-Noël Barrot doit démissionner.
Et il est temps que le Président Macron cesse d’ignorer l’évidence : à force de vouloir séduire les franges les plus radicales de l’opinion, il trahit les principes mêmes de la République qu’il prétend défendre.
Monsieur le Président, ouvrez les yeux.
Il y a de véritables combats à mener contre le terrorisme, et pour les peuples qui souffrent en silence : au Soudan, en Libye, en Iran, au Xinjiang, en Afrique subsaharienne…
Mais non : le seul pays que vous semblez vouloir stigmatiser, c’est Israël seul démocratie dans cette partie du monde — alors même qu’il fait, sur le terrain, le travail que d’autres, dont la France, refusent de faire : combattre le fanatisme islamiste.
Alain SAYADA
Rédacteur en Chef d’Israel Actualités
MACRON après De Villepin S est vendu au Qatar pour un plat de lentilles qu en pense les FRANÇAIS DE SOUCHE?