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France/Hôpitaux : ça se passe mal avec l’islam

 

Les incidents et agressions se multiplient dans les établissements hospitaliers, toujours liés à la question islamique. La tension monte, comme partout ailleurs. De plus en plus de musulmans refusent que leurs femmes ou filles soient approchées par des soignants masculins ; et il exigent d’autres privilèges : régimes alimentaires hallal, prières, etc. Extension du domaine de la…vous avez dit ”guerre” ?

Conflits, violences, revendications

Le 9 août dernier, à Bordeaux, un aide soignant a été agressé et blessé par un musulman qui refusait que sa femme enceinte et voilée soit examinée par un homme. Partout en France, dans les maternités, mais aussi dans tous les autres services – et pas seulement gynécologiques – les exigences augmentent pour que les musulmanes soient accouchées, examinées et soignées uniquement par du personnel féminin. Ce qui est souvent impossible, d’où les incidents et les violences.

« Ces cas de violence ou de conflits pour des motifs religieux sont de plus en plus nombreux à l’hôpital public, ces dernières années », remarque la Fédération hospitalière de France (FHF). De plus, on note la multiplication de revendications pour des repas hallal et des salles de prières dans les hôpitaux de l’AP, aussi bien pour les malades que pour le personnel musulman !

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Un tiers des 172 établissements ou centres de santé publics ont signalé des incidents graves avec des patients, en hausse constante (étude de la FHF de juin 2015 sur la laïcité à l’hôpital).

Dès 2003, la commission Stasi sur la ”laïcité” notait la multiplication des « refus, par des maris ou des pères, pour des motifs religieux, de voir leurs épouses ou leurs filles soignées ou accouchées par des médecins de sexe masculin ».

Les refus d’auscultation ou d’examen physique de femmes musulmanes par un personnel soignant masculin ne cesse d’augmenter. De plus, aux urgences, les incidents violents se multiplient, provoquées par des patients ou accompagnateurs d’origine immigrée musulmane qui exigent des privilèges, avec une impudence croissante.« L’atmosphère des services se dégrade », selon le Pr Roger Henrion dans un rapport à l’Académie de médecine. (1)

De son côté, le Pr. Israël Nisand, gynécologue et obstétricien au CHU de Strasbourg, révèle : « Les incidents se multiplient. Un jour, un homme m’a dit qu’il préférait que son épouse meure plutôt qu’elle soit auscultée par un homme. C’est un mépris de la femme que nous ne devons pas tolérer. Il faut également rappeler que les agressions physiques qui ont eu lieu dans ce contexte sont le fait de délinquants, d’incultes qui agissent sous le couvert d’un islamisme mal digéré. Il s’agit de violence et non de religion ». (Le Figaro, 22–23/08/ 2015) C’est une erreur, il s’agit des deux, étroitement mêlées.

Une volonté de subversion

En effet, au delà de la névrose qui a toujours marqué la sexualité dans l’islam, ces musulmans qui créent des troubles dans les hôpitaux (comme ailleurs) le font au nom dudjihad en France et en Europe et dans un but subversif.

Dans les pays musulmans, du Maghreb au Pakistan, en passant par l’Arabie et le Moyen-Orient, il ne faut pas nous raconter d’histoires : les femmes qui y accouchent ou s’y font soigner peuvent être prises en charge par des soignants masculins (largement majoritaires) sans que cela ne pose aucun problème. Les révoltes, violences et incidents dans les hôpitaux et centres de soins français sont principalement motivés par la volonté de provoquer et d’en découdre ; beaucoup plus que d’obéir à des prescriptions islamiques. Il s’agit de nous faire la guerre, par tous les moyens et sous tous les prétextes.

Lydia Guirous, une des porte –parole des Républicains condamne ces rebellions et ces revendications  qui sont« une illustration de plus du communautarisme grandissant en France et des atteintes et provocations constantes à l’égard de notre pacte républicain ».

C’est sûr, mais la solution du problème n’est pas de ressasser ce ”pacte républicain” ou cette ”laïcité”– dont les intéressés se moquent parfaitement – mais de stopper et d’inverser les flux d’immigration musulmane, qui est vrai cause dudit problème.

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