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Doha frappée : la fin de l’immunité et l’hypocrisie des capitales occidentales, Tsahal frappe le Hamas et Financier des terroristes

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Doha frappée : la fin de l’immunité  et l’hypocrisie des capitales occidentales, Tsahal frappe le Hamas et   Financier des terroristes

Le 9 septembre restera comme une date charnière : pour la première fois, Israël a brisé le sanctuaire qatari, en frappant au cœur même de Doha les chefs du Hamas responsables des massacres du 7 octobre 2023.

Pendant plus de trente ans, ces terroristes ont bénéficié d’un exil luxueux, protégés par un double discours : d’un côté, le Qatar médiateur, mécène et « partenaire de paix » ; de l’autre, le Qatar banquier et hôte des bourreaux d’Israël. Dans les hôtels cinq étoiles, Khaled Meshaal, Mousa Abu Marzouk, Khalil al-Hayya et consorts négociaient, levaient des fonds, célébraient le sang versé par leurs partisans.

L’Occident complice par lâcheté

Ce double jeu, chacun le connaissait. Les chancelleries européennes fermaient les yeux, Washington cautionnait au nom de la « stabilité régionale », et Paris se contentait d’invitations protocolaires. La vérité est brutale : pendant que le Hamas égorgeait, kidnappait et incendiait, le monde occidental serrait la main de ses financiers.

Aujourd’hui encore, la réaction internationale est à la hauteur de cette hypocrisie comme  le Message du Président français Emmanuel Macron

 » les frappes israéliennes au Qatar « sont inacceptables quel qu’en soit le motif »

Condamnations outrées, sermons moralisateurs, indignation feinte. Le Qatar hurle à la violation de sa souveraineté ; l’ONU, l’Arabie saoudite, les Émirats, la Turquie, l’Iran et jusqu’au Vatican s’érigent en gardiens du droit international.

Mais qui, parmi eux, a dénoncé l’attaque barbare du 7 octobre avec la même vigueur ?

Qui a exigé la libération immédiate et inconditionnelle des otages ?

Israël, seul face à ses ennemis

En assumant personnellement cette opération, Benjamin Netanyahou rappelle une évidence : Israël est seul garant de sa sécurité. Seul contre les terroristes du Hamas, seul face à la duplicité du Qatar, seul contre la lâcheté d’une communauté internationale plus soucieuse de ménager ses intérêts énergétiques que de défendre le droit à la vie des Juifs.

Un tournant irréversible

En frappant Doha, Israël a ouvert une nouvelle ère : celle où aucun sanctuaire ne protège plus les planificateurs du terrorisme. Le temps des exils dorés et des illusions diplomatiques est terminé. Désormais, quiconque a du sang israélien sur les mains sait qu’aucun palais, aucun émir, aucune chancellerie ne pourra lui garantir l’immunité.

L’histoire retiendra ce basculement : Doha, jadis refuge et banquier du Hamas, est devenu un champ de bataille. En frappant au cœur du sanctuaire qatari, Israël a mis fin à trois décennies de mensonges et d’hypocrisie.

Contrairement à l’esprit de Daladier des années 30, dont la lâcheté ouvrit la voie à la Shoah et coûta la vie à six millions de Juifs, Israël refuse désormais toute illusion diplomatique. Seul face au terrorisme islamiste, seul face à la duplicité des chancelleries, seul face au silence coupable de l’Occident, l’État hébreu assume son rôle : premier rempart contre l’islamisme radical.

Et une certitude s’impose : Israël n’acceptera plus jamais d’être la victime consentante de l’histoire.

Alain SAYADA

Rédacteur en Chef d’Israel Actualités

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